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20 juillet 2012 5 20 /07 /juillet /2012 20:53

Le casque d'un motocycliste n'empêche ni le dégagement en urgence, ni la mise en position latérale de sécurité ; il ne doit donc pas être retiré, sauf si la victime présente des signes de détresse ventilatoire et porte un casque de type "intégral" (les autres casques permettant l'ouverture et le nettoyage de la bouche et la pratique de la ventilation artificielle).

 

Le retrait du casque est une manœuvre très délicate ; elle est moins dangereuse à deux sauveteurs :

. Le sauveteur le plus expérimenté se place à genoux, à côté de la tête de la victime ; il place une main sous le

cou, l'autre est passée sous le bord inférieur du casque : les doigts sont mis en crochet sous le menton. Il assure le maintien de la tête dans l'axe du corps.

 

. Le second sauveteur se place dans l'axe de la tête, détache la sangle de la mentonnière, vérifie que rien d'autre ne retient le casque (foulard...), saisit le casque sur les parties latérales du bord inférieur, et le tire doucement dans l'axe. Il est parfois nécessaire de basculer légèrement le casque en arrière pour ne pas accrocher le nez.

 

Le maintien de la tête dans l'axe du corps n'est jamais relâché ; la tête et le casque sont à peine soulevés du sol de la hauteur juste nécessaire pour que le casque puisse glisser sur le sol ; elle est reposée doucement sur le sol et maintenue en rectitude.

 

La ventilation artificielle peut être aussitôt commencée dès que les voies aériennes supérieures sont libres.

 

Cas particulier :

 

Au cas où l'accès à la nuque et au menton n'est pas immédiatement possible, le premier sauveteur, placé dans l'axe de la tête, maintient le casque (et donc la tête), le second, à genoux sur le côté, défait la fermeture (jugulaire, mentonnière, autre système de fixation...). Il passe ensuite une main sous la nuque, l'autre en crochet sous le menton en maintenant la rectitude de l'axe tête-cou-tronc. Le premier sauveteur peut alors retirer le casque dans l'axe du corps de la victime.

 

Lorsqu'il n'y a qu'un seul sauveteur, la manœuvre est très dangereuse ;

. Le sauveteur se place à la tête de la victime, passe une main sous le cou et de l'autre tire doucement le casque, bien dans l'axe du tronc.

 

Une fois le casque ôte, il pose doucement la tête sur le sol, la maintient basculée en arrière, et pratique immédiatement la libération des voies aériennes supérieures et la ventilation artificielle.

 

Cette manœuvre ne doit donc être réalisée que s'il y a danger vital manifeste, et dans ce seul cas.

 

Il faut toujours se rappeler que l'on peut laisser le casque sur la tête d'un blessé inconscient qui ventile tout au long des opérations de secours (P.L.S. notamment).

 

L'opération de retrait ne s'impose que :

- si la victime vomis ;

- si une ventilation artificielle est indispensable et si le casque est de modèle dit "intégral".


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26 juin 2012 2 26 /06 /juin /2012 23:58

1)   -  S'abstenir de fréquenter les plages interdites à la baignade.

 

2)   -  Choisir une zone surveillée et balisée.

 

      Drapeau orangée  :  plage surveillée, mais présentant des dangers ;

 

      Drapeau rouge   :  plage ou la baignade est interdite.

 

         Le respect des zones de balisage et des indications mentionnées sur les panneaux, est indispensable pour la sécurité du baigneur.

 

3) - Pas plus de (10) minutes pour le premier bain.

 

           Ainsi, après un exercice loin de la mer, ne pas surestimer ses forces, surtout dans une eau fraîche.

 

4) - Se méfier du refroidissement brutal lors de l'entrée dans l'eau.

 

       Éviter de rentrer dans l'eau brutalement :

       - après un bain de soleil ;

       - après un repas copieux ou une consommation d'alcool ;

       - après un effort physique intense ;

       - si on est fatigué ou à jeun depuis longtemps.

 

5)- Entrer progressivement dans l'eau

 

      Après un long bain de soleil ou une activité sportive, il est indispensable de s'asperger le torse et la nuque avant d'entrer dans l'eau.

 

     Par ailleurs, si on éprouve une sensation désagréable, (frissons, vertiges, etc...), il convient de sortir

immédiatement de l'eau.

 

     Enfin, il ne faut pas plonger si on n'est pas certain qu'il y a assez d'eau et qu'il n'y a pas d'obstacles dangereux cachés, rochers, hauts fonds).

 

6) -  Ne    jamais    se   baigner   seul. 

   (un bon nageur peut avoir des malaises)

 

      Dans ce cas, peuvent intervenir, en cas de risque :

      -  un témoin pour donner l'alerte ;

      - des groupes de nageurs qui se surveillent mutuellement.

 

      En outre, en restant près de la rive, on peut sortir rapidement de l'eau en cas de malaise.

 

 7)  - Comment reconnaître un baigneur en difficulté.

 

         - le signe du bouchon ;

         - la tête du baigneur qui disparaît à plusieurs reprises sous l'eau puis coule à pic, victime

           hors de l'eau.


8) - Ne pas utiliser les embarcations légères quand le vent souffle de la terre vers la mer

 

           Il faut éviter également de jouer à la peur en renversant les embarcations ou en mettant de force quelqu'un dans l'eau.

 

           L'eau étant un milieu parfois hostile, un choc émotif peut avoir des conséquences graves.

 

9) -     Autres mesures de prévention

 

     -    Approcher et maîtriser les notions et gestes en matière de secourisme :

     -    Ne pas s'éloigner de plus de 300 mètres du rivage avec un engin de plage (bouée, chambre à air

          ou autres moyens) au risque d'être entraîné au large par un coup de vent ;

     -    Ne jamais se débattre si on est pris dans un tourbillon. Au contraire, il faut se laisser et faire

          un détour pour rejoindre la rive ;

     -   Éviter les hélices des bateaux ou les pirogues qui peuvent provoquer des blessures graves et

          mortelles.

 

  10) -  S'entraîner  progressivement

 

         Les plongeurs doivent :

         - éviter les plongées successives à intervalles trop rapprochés.

         - avoir toujours quelqu'un qui les surveille à la surface, car la fin de la plongée est le moment le

           plus délicat ;

         - remonter à la surface, s'ils constatent une diminution de leurs capacités physiques ;

         - éviter les heures de haute marée.

 

 

 

 

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31 mai 2012 4 31 /05 /mai /2012 21:36


 

La Communauté rurale de Ndiaganiao est limitée au Nord par la communauté rurale de Ngoudiane, au Sud par celle de Sessène et Sandiara, à l'Est par celle de Fissel , et à l'Ouest par la communauté rurale de Tassette et Sindia.

 

Elle couvre une superficie de 378,5 km2 est composée de trente sept (37) villages :

- Sandock (13 villages), fondé par une personne de ce nom ;

- et Ndiaganiao (24 villages). Les familles qui vivent dans cette localité sont parentés et entretiennent des relations étroites.

 

La communauté rurale de Ndiaganiao se divise en trois (03) zones :

 

- zone de bas-fonds  ;

   - zone de Sandock ;      

   - et zone de Ndiaganiao.

 

La population est composée de trois ethnies :

 

- les Sérères représentent 75 %  ;

- les Wolofs 13 %  ;

- les Pulaars 11 %.

 

Les autres ethnies minoritaires sont les maures, les mandjack et les diolas, ils représentent 3 % de la population.

 

80 % des habitants de la localité sont des musulmans, 10 % des chrétiens et le même taux pour les animistes

(adeptes de la religion traditionnelle).

 

 

La Communauté connaît un fort taux de migration, notamment celle des jeunes et des femmes. Cette forte mobilité est due à la pauvreté des sols, à l'insuffisance des terres arables et au manque d'emploi caractérisée 

 par l'exode rurale vers des cieux plus cléments (les grandes villes comme Dakar, Mbour et Thiès).

 

 

 

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15 mai 2012 2 15 /05 /mai /2012 12:17

 

logo gratuit 4

Le Commissionnaire a droit :

 

1°  A la rémunération promise fixée par le contrat, à défaut par les usages, et généralement à un

      pourcentage :

 

2°  Au remboursement de ses dépenses et frais, des avances qu'il a pu faire :

 

     - pour assurer le paiement de ces sommes, le commisionnaire a un droit de rétention. Il a d'autre part, un privilége

accordé par l'article 95 du Code de commerce, portant sur les marchandises qu'il peut avoir en sa possession, parce qu'elles  lui ont été expédiées, déposées ou consignées. Sur le sort du  privilégié  , en cas de réglement judiciaire ou de liquidation des biens de son commettant v. infra n° 657.

 

Rapport avec le tiers.

 

Dans les rapports avec les tiers, c'est le commissionnaire qui traite en son nom, c'est donc sur lui seul que le tiers peut agir, et non pas contre le commettant que le tiers ne peut connaître. Le contrat étant conclu, le commettant peut en revendiqué le bénéfice exclusif , puisque le contrat a été fait pour son compte et il doit, d'autre part en supporter les charges.

 

Mais les conséquences ne jouent que dans les rapports du commissionnaire et du commettant contre le tiers.

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23 avril 2012 1 23 /04 /avril /2012 13:18

contre-echarpe.jpg

 

Elles sont utilisées pour immobiliser une atteinte du bras. Le membre blessé est soutenu par la pose d'une écharpe simple (qui immobilise les articulations du coude et du poignet) et le bras est immobilisé en étant plaqué contre le thorax par la mise en place d'une contre-écharpe (qui immobilise l'épaule).

 

La pose s'effectue ainsi :

 

-   mettre en place l'écharpe simple comme énoncé précédemment :

 

-  placer la base du triangle au niveau de l'épaule du membre blessé ;

 

-  amener les deux pointes sous l'aisselle opposée en enveloppant le thorax de la victime ;

 

-  fixer la contre-écharpe au moyen d'un noeud situé en avant de l'aisselle opposée et torsader le sommet pour maintenir

   le bras blessé plaqué contre le thorax  ;

 

-  parfaire la fixation avec une épingle de nourrice.

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23 avril 2012 1 23 /04 /avril /2012 12:48

echarpe-simple.jpega)   Echarpe simple :

 

Elle est utilisée pour l'immobilisation d'une lésion du poignet ou de l'avant-bras. Elle assure le soutien du membre blessé en immobilisant les articulations du poignet et du coude.

 

La pose de cette écharpe s'effectue de la façon suivante :

 

-   engager une des pointes du triangle entre le coude et le thorax et la faire passer sur l'épaule du coté blessé. Il faut que 

     le sommet du triangle se trouve du côté du coude et que la base soit perpendiculaire à l'avant-bras à immobiliser ;

 

-   ajuster et déplisser le triangle jusqu'à la base des doigts ;

 

-   rabattre la seconde pointe sur l'avant-bras et la faire passer sur l'épaule opposée au membre blessé ;

 

-  fixer l'écharpe en nouant les deux pointes sur le côté du cou et vérifier la bonne position de la main qui doit toujours être

   placée légèrement  au-dessus du niveau du coude pour éviter qu'elle ne gonfle ;

 

-  terminer la fixation au niveau du coude en torsadant la partie libre de la pointe (queue de cochon) ou en la fixant avec  

   une  épingle à  nourrice.

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7 janvier 2012 6 07 /01 /janvier /2012 22:24

moto-ventilateur.jpg1  -  Causes.

 

Soufre brulé (dégageant de l'anhydride sulfureux) et emploi de chloropicrine, gaz qui arrivent à incommoder les habitants de l'immeuble.

 

2  -  Précautions.

 

Faire fermer les fenêtres et portes des logements voisins, emploi obligatoire de l'appareil respiratoire isolant.

 

Moyens.

 

Ouverture des fenêtres, en pénétrant dans la pièce muni d'un appareil respiratoire. Vérifier si le soufre, allumé sur un parquet souvent mal isolé n'a pas communique le feu.

 

En l'absence de locataires, éviter autant que possible de forcer les portes pour entrer dans l'appartement. Y accèder par une fenêtre dont  on brise un carreau.

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25 décembre 2011 7 25 /12 /décembre /2011 15:11

degagement-de-la-voie-publique.jpg

 

1. Causes.

 

Collision de voitures ou autres accidents. Obstacles entravant la circulation.

 

3. Moyens.

 

A bras, crics, cric rouleur, palan, camion-grue. Une voiture de tourisme renversée se redresse avec facilité au moyen d'un cordage ou même à bras.

 

Le ranger ensuite le long du trottoir.

 

Les sapeurs-pompiers ne doivent procéder au déplacement, par remorquage, d'un véhicule accidenté ou en panne, sauf sur de très courtes distances pour le ranger en un emplacement où il ne génera plus la circulation ou le conduire à proximité d'un commissariat de police, d'une gendarmerie.

Le remorquage est normalement une opération du ressort des dépanneurs professionnels.

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21 décembre 2011 3 21 /12 /décembre /2011 19:38

immeuble-effondre.jpeg

 

1) - Alerter les sapeurs-pompiers.

 

2) - Faire fermer les conduites d'eau, de gaz et d'électricité.

 

3) - Interdire de fumer ou de s'éclairer avec une flamme nue.

 

4) - Porter un casque et se munir de gants épais pour manier les décombres.

 

5) - Eviter le piétement dans nécessité absolue des décombres ou le stationnement des badauds en

       bordure de l'éboulement.

 

En attendant  l'arrivée des équipes spécialisés.

 

.  D'abord dégager prudemment les victimes facilement accessibles.

.  Ensuite, essayer de localiser les autres ensevelis (système d'écoute...).

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16 décembre 2011 5 16 /12 /décembre /2011 12:57

marteau-piqueur-brise-beton-40-joules-1800w.jpgPerceuse rotative et à percussion, utilisée pour pratiquer detrouées dans les planchers, murs et cloisons en maçonnerie, pour effectuer l'extinction de joints de dilatation par exemple, de feux de gaines, permettre l'évacuation d'eau accumulée sur une dalle, etc.

 

Fonctionne en rotation-percussion combinées ou en percussion seule. Alimentation électrique.

 

Permet l'utilisation de mèches de 5 à 35 mm de diamètre et de trépans jusquà 125 mm.

 

Se reporter à la notice du constructeur.

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